Les Missions de
l’ASA

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Sécurité – Protection

La sécurité des biens et des personnes dans le Bois de la Chaize est l’affaire de tous. C’est pourquoi nous devons être particulièrement vigilants concernant les règles visant à nous prémunir contre les incendies et les accidents liés aux problématiques de la circulation.

PREVENTION INCENDIE

Les paysagistes, et plus généralement les entreprises assurant l’entretien des propriétés, les propriétaires sont tenus d’éliminer leurs déchets verts par des voies respectueuses de l’environnement et de la réglementation : par broyage sur place, apport à la déchèterie ou en valorisation directe (compost…). Ils ne doivent pas être brûlés.


Les terrains doivent être entretenus, conformément à la réglementation, les défrichages réguliers, afin d’éviter ou limiter tout risque de départ ou de propagation d’incendie.

Les barbecues au charbon de bois (ou bois simple), les feux d’artifices et autres feux de quelque nature que ce soit sont interdits.

PREVENTION SECOURS

Afin de laisser les véhicules d’intervention des pompiers en cas de feu ou de situations médicales urgentes, les voitures ou autres véhicules stationnés ne doivent pas entraver la circulation.  Les haies et les branches en surplomb qui risquent de gêner ces mêmes véhicules de pompier doivent être régulièrement taillées.

CIRCULATION – STATIONNEMENT

L’ensemble des allées  du Bois est classé en zone 20. La zone 20 est une zone de partage de la voirie, entre piétons, vélos et voitures. Le stationnement y est interdit hors les zones autorisées matérialisées.

BAIGNADE

Les plages du Bois ne sont pas surveillées. La baignade s’effectue donc sous la responsabilité des baigneurs

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Le boisement

LE BOISEMENT

Le bois de la chaise se compose de deux parties
– 1/3 de forêt domaniale géré par l’ONF qui borde la côte de l’allée des soupirs aux Sableaux.
– 2/3 la partie privée avec 350 propriétaires composée de 7 voies communales et une quarantaine d’allées privées, la plupart ouverte à la circulation publique.

Le bois comprend 3 domaines différentes :
– La grande lande à l’ouest
– Les sorbets au centre
– A l’est le Pélavé et le gaillardin.

A la suite des destructions de la révolution et des terribles hivers de 1793, les chênes verts repoussent difficilement. C’est à partir de là que Jean Corneille replante des arbres, introduit  de nouvelles essences et crée de nouvelles allées.

Entre 1824 et 1827, de nombreuses plantations sont effectuées;  peupliers et  ormeaux ne survivront pas.

Par la suite, Jacobsen décide de planter des pins maritimes,  avec un ambitieux programme de plantation.

Le contexte climatique associant le doux climat du littoral vendéen à la protection naturelle offerte par la côte rocheuse a permis le développement d’un ensemble boisé composé de cinq éléments de base : pins, chênes verts, arbousiers, mimosas, bruyères.

LES ARBRES

Afin de préserver l’environnement forestier dans lequel nous avons choisi de vivre, tout abattage d’arbre est soumis à autorisation suivant la procédure suivante : Demande Préalable auprès de la Direction de l’Urbanisme de la Mairie de Noirmoutier: CERFA 

La fragilisation et la dégénérescence de notre forêt rend indispensable le remplacement de tout arbre abattu. A cet effet, une liste diversifiée des essences appropriées à notre environnement, est proposée par le l’ASA.

Lors de l’autorisation d’abattage, les propriétaires sont informés de la nécessité de replanter un ou des nouveaux sujets.

En 2019 et 2020, l’ASA a sollicité Mme Anne Sophie BRUNIEAU, pour la réalisation d’un état des lieux du boisement, et la rédaction de recommandations pour l’entretien du boisement au sein de chaque propriété. En effet, si le boisement peut s’analyser de manière globale, son entretien, son renouvellement, et plus globalement, sa gestion, relève de la responsabilité de chaque propriétaire. Vous trouverez ci dessous le lien vers ce rapport, et ses annexes.

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Urbanisme

Dès le début de la création du premier lotissement dans le Bois de la Chaise, de la construction des premières villas, les règles d’urbanisme ont été clairement et strictement définies, à travers les règlements “Jacobsen” et “Hubert”.

Le classement du Bois, puis, plus récemment, son inscription en “Site Patrimonial Remarquable” , et enfin le PLU (Zone UCn) ont conforté ces dispositions, les ont renforcées.

Parmi les points à retenir :

Le style architectural qui est libre mais le projet doit être approuvé, par les Services de l’Urbanisme et  par l’ architecte des bâtiments de France.

Le minimum de surface parcellaire est de 3000 M2. Les parcelles comprises entre 1500 et 3000 m2 existantes avant 1976 bénéficient du même droit à construire que les parcelles de plus de 3000 m2.

85% de la surface du terrain doit être « vert » : arbres, sous-bois, jardin. 75% de la surface de la propriété doit être boisée. L’emprise au sol des constructions (batiments, terrasse, piscine etc… ) et voies d’accès ne doit pas dépasser 11% de la surface de la parcelle.

Le plastique est interdit pour volets, ouvertures et portail

Les clôtures doivent être transparentes : pas de brande, pas de haies opaques (thuyas à proscrire)

Les règles d’urbanisme se retrouvent dans le PLU , mais aussi dans les exigences liées à la classification du Bois en “Site Patrimonial Remarquable”. En cas de divergences entre les deux règlements, le plus contraignant s’applique.

Voirie, Allées 

L’entretien des allées du Bois fait l’objet d’une convention entre la municipalité et l’ASA.

Le caractère naturel des allées doit être préservé, ce qui implique un plan d’entretien annuel et pluriannuel.